Sauvons les riches s’invite au  procès Chirac pour éviter un procès… fictif.
 
Déboutés  par le tribunal adminsitratif de leur demande visant à représenter la ville de  Paris dans le procès Chirac, les contribuables sauveurs de riches ont formé un  recours devant le Conseil d’Etat le 5 mai 2011.
Sauvons les riches appelle  ses sympathisants à soutenir financièrement le collectif pour faire face aux  frais de justice.
Depuis  l’annonce d’un protocole d’accord entre la Mairie de Paris, l’UMP et Jacques  Chirac. Sauvons les riches se mobilise pour éviter une parodie de justice. Après  avoir lancé une pétition (1900  signataires) et s’être mobilisé le jour du vote du protocole Delanoë-Chirac-UMP  au conseil de paris (voir « A bas Lucky Luke, vive  Delanoë »), nous avons décidé de contester en justice la  délibération  en question : représentés par Me Afane-Jacquart, l’association  Anticor et une dizaine de contribuables parisiens, pour certains membres de  Sauvons les riches, ont introduit en novembre 2010 une demande d’annulation de  la délibération du conseil de Paris, délibération qui devait autoriser Bertrand  Delanoë à signer l’arrangement illégal.
Dans le même temps, pour éviter que  Bertrand Delanoë ne mette les finances de la commune en péril en abandonnant les  poursuites contre Jacques Chirac et en ne conservant en poche qu’un arrangement  de nul effet, nous lui avons demandé de continuer à représenter la ville dans le  procès en correctionnelle. Le maire ayant refusé, il revient désormais au  tribunal administratif d’autoriser les contribuables courageux à représenter  la ville de Paris pour que celle-ci puisse enfin obtenir justice contre  Jacques Chirac et ses complices.
Début avril, cette autorisation a été rejetée  par le tribunal administratif. Sauvons les riches a donc décidé de former un  recours contre cette décision devant le Conseil d’Etat. Le cabinet Hélène  Masse Dessen a accepté de porter ce recours ébauché par Me Afane  Jacquart.
Avec ce  recours, Sauvons les riches entend répondre aux conclusions du tribunal  administratif :
1) le  préjudice subi par la Ville est bien supérieur aux 2,2 millions d’euros de la  transaction, comme l’indiquent les conclusions de l’enquête de la juge Simeoni.  D’après cette ordonnance de renvoi et en suivant les chiffres fournis par la  ville, le dommage subi s’elève à « la somme de 4 549 097,82 euros ».
2) la  délibération autorisant M. Delanoë à signer le protocole étant irrégulière, la  Mairie court le risque de voir une des parties ou un contribuable dénoncer  l’accord après le procès, ce qui fait courir un risque sur les finances  de la Ville : si l’accord est annulé après le procès, la ville serait obligée de  restituer à l’UMP les sommes que celle-ci a payées à la place de Jacques  Chirac !
Pour  exercer ce recours, Sauvons les riches a engagé des fonds et appelle tous ceux  qui estiment que la délinquance politique ne se règle pas à l’amiable à soutenir financièrement son action ! http://sauvonslesriches.fr/2011/04/dons-proces-chirac/
Sauvons les riches s’invite au  procès Chirac pour éviter un procès… fictif.
 
Déboutés  par le tribunal adminsitratif de leur demande visant à représenter la ville de  Paris dans le procès Chirac, les contribuables sauveurs de riches ont formé un  recours devant le Conseil d’Etat le 5 mai 2011.Sauvons les riches appelle  ses sympathisants à soutenir financièrement le collectif pour faire face aux  frais de justice.
Depuis  l’annonce d’un protocole d’accord entre la Mairie de Paris, l’UMP et Jacques  Chirac. Sauvons les riches se mobilise pour éviter une parodie de justice. Après  avoir lancé une pétition (1900  signataires) et s’être mobilisé le jour du vote du protocole Delanoë-Chirac-UMP  au conseil de paris (voir « A bas Lucky Luke, vive  Delanoë »), nous avons décidé de contester en justice la  délibération  en question : représentés par Me Afane-Jacquart, l’association  Anticor et une dizaine de contribuables parisiens, pour certains membres de  Sauvons les riches, ont introduit en novembre 2010 une demande d’annulation de  la délibération du conseil de Paris, délibération qui devait autoriser Bertrand  Delanoë à signer l’arrangement illégal.
Dans le même temps, pour éviter que  Bertrand Delanoë ne mette les finances de la commune en péril en abandonnant les  poursuites contre Jacques Chirac et en ne conservant en poche qu’un arrangement  de nul effet, nous lui avons demandé de continuer à représenter la ville dans le  procès en correctionnelle. Le maire ayant refusé, il revient désormais au  tribunal administratif d’autoriser les contribuables courageux à représenter  la ville de Paris pour que celle-ci puisse enfin obtenir justice contre  Jacques Chirac et ses complices.
Début avril, cette autorisation a été rejetée  par le tribunal administratif. Sauvons les riches a donc décidé de former un  recours contre cette décision devant le Conseil d’Etat. Le cabinet Hélène  Masse Dessen a accepté de porter ce recours ébauché par Me Afane  Jacquart.
Avec ce  recours, Sauvons les riches entend répondre aux conclusions du tribunal  administratif :
1) le  préjudice subi par la Ville est bien supérieur aux 2,2 millions d’euros de la  transaction, comme l’indiquent les conclusions de l’enquête de la juge Simeoni.  D’après cette ordonnance de renvoi et en suivant les chiffres fournis par la  ville, le dommage subi s’elève à « la somme de 4 549 097,82 euros ».
2) la  délibération autorisant M. Delanoë à signer le protocole étant irrégulière, la  Mairie court le risque de voir une des parties ou un contribuable dénoncer  l’accord après le procès, ce qui fait courir un risque sur les finances  de la Ville : si l’accord est annulé après le procès, la ville serait obligée de  restituer à l’UMP les sommes que celle-ci a payées à la place de Jacques  Chirac !
Pour  exercer ce recours, Sauvons les riches a engagé des fonds et appelle tous ceux  qui estiment que la délinquance politique ne se règle pas à l’amiable à soutenir financièrement son action ! http://sauvonslesriches.fr/2011/04/dons-proces-chirac/
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